La 7eme Journée vétérinaire aura lieu a l'ENV le 18-19avril2009 qui aura pour theme:Les Maladies Inféctieuses des Bovins
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7eme Journée vétérinaire
Athéna- Administrateur
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- Message n°1
7eme Journée vétérinaire
Athéna- Administrateur
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- Message n°2
Re: 7eme Journée vétérinaire
Bonjour;
Les journées vétérinaires sont dans moins d'une semaine.
Je conseil aux étudiants d'y assisté même si au fond vous ne comprenez pas grand choses (pour les 1er et 2eme années).ça sera toujours des connaissance acquise qui vous aiderons
Les journées vétérinaires sont dans moins d'une semaine.
Je conseil aux étudiants d'y assisté même si au fond vous ne comprenez pas grand choses (pour les 1er et 2eme années).ça sera toujours des connaissance acquise qui vous aiderons
Aurore- Co-Administrateur
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- Message n°3
Re: 7eme Journée vétérinaire
bonjour,
je vous copie ce qui a été dis dans le quotodien indépendant " le soir d'algérie " , édition du 19/04/2009.
7es JOURNÉES DES SCIENCES VÉTÉRINAIRES
Les infections diminuent la production laitière
Les maladies infectieuses des bovins étaient à l’ordre du jour des 7es journées des sciences vétérinaires qui se tiennent depuis hier à l’Ecole nationale vétérinaire, à El-Harrach.
Rosa Mansouri - Alger (Le Soir) - Selon les spécialistes venus de toutes les régions du pays, deux principales maladies infectieuses touchent sérieusement le cheptel bovin en Algérie. La tuberculose et la brucellose sont les plus répandues mais ne sont pas suffisamment décelées, malgré le dépistage systématique mis en place par les services vétérinaires depuis 1995. Selon le Dr Bouguedour des services vétérinaires du ministère de l’Agriculture, les problèmes rencontrés en matière de dépistage ne se posent pas uniquement avec les éleveurs, qui ont des élevages modestes (entre 10 à 15 bovins) et qui ne sont pas habitués à faire des dépistages. Il évoque également les conditions d’hygiène pour les vaches laitières qui ne sont pas respectées ce qui provoque une inflammation des mamelles d’où la maladie de la mammite. Cette dernière, selon, le Dr Khelef, se répercute sur la production de lait qui diminue d’une année à l’autre. «L’Algérie, dit-il, ne dispose pas de tous les moyens de dépistage de cette maladie en raison du manque de laboratoires. » Aussi, la maladie ne présente pas des signes cliniques qui permettent son traitement immédiat. Concernant la brucellose, il n’y a pas de traitement clinique et l’animal doit être euthanasié, car cette maladie est transmissible à l’homme par le canal du lait. D’après ce vétérinaire, beaucoup de cas de contamination de l’homme ont été enregistrés, mais il refuse de commenter cela et encore moins de donner des chiffres en présence du représentant du ministère de l’Agriculture qui, lui, minimise les faits et rassure que «les maladies infectieuses des bovins n’ont pas explosé en Algérie». Il tient également à signaler que la vaccination est régulière contre des maladies à risque comme la fièvre aphteuse et la rage.
je vous copie ce qui a été dis dans le quotodien indépendant " le soir d'algérie " , édition du 19/04/2009.
7es JOURNÉES DES SCIENCES VÉTÉRINAIRES
Les infections diminuent la production laitière
Les maladies infectieuses des bovins étaient à l’ordre du jour des 7es journées des sciences vétérinaires qui se tiennent depuis hier à l’Ecole nationale vétérinaire, à El-Harrach.
Rosa Mansouri - Alger (Le Soir) - Selon les spécialistes venus de toutes les régions du pays, deux principales maladies infectieuses touchent sérieusement le cheptel bovin en Algérie. La tuberculose et la brucellose sont les plus répandues mais ne sont pas suffisamment décelées, malgré le dépistage systématique mis en place par les services vétérinaires depuis 1995. Selon le Dr Bouguedour des services vétérinaires du ministère de l’Agriculture, les problèmes rencontrés en matière de dépistage ne se posent pas uniquement avec les éleveurs, qui ont des élevages modestes (entre 10 à 15 bovins) et qui ne sont pas habitués à faire des dépistages. Il évoque également les conditions d’hygiène pour les vaches laitières qui ne sont pas respectées ce qui provoque une inflammation des mamelles d’où la maladie de la mammite. Cette dernière, selon, le Dr Khelef, se répercute sur la production de lait qui diminue d’une année à l’autre. «L’Algérie, dit-il, ne dispose pas de tous les moyens de dépistage de cette maladie en raison du manque de laboratoires. » Aussi, la maladie ne présente pas des signes cliniques qui permettent son traitement immédiat. Concernant la brucellose, il n’y a pas de traitement clinique et l’animal doit être euthanasié, car cette maladie est transmissible à l’homme par le canal du lait. D’après ce vétérinaire, beaucoup de cas de contamination de l’homme ont été enregistrés, mais il refuse de commenter cela et encore moins de donner des chiffres en présence du représentant du ministère de l’Agriculture qui, lui, minimise les faits et rassure que «les maladies infectieuses des bovins n’ont pas explosé en Algérie». Il tient également à signaler que la vaccination est régulière contre des maladies à risque comme la fièvre aphteuse et la rage.
Athéna- Administrateur
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- Message n°4
Re: 7eme Journée vétérinaire
Bonjour
je me joint a Aurore pour ajouté l'article paru sur "Infosoir" qui parle des 7eme journées vétérinaires dans leurs dossier du jours (page 2 et 3). voila un des articles:
Constat n Les jeunes diplômés de l’Ecole nationale supérieure vétérinaire (Ensv) éprouvent d’énormes difficultés pour décrocher un emploi dans leur spécialité.
Cela est dû au grand nombre de diplômés, d’une part, et, d’autre part, à l’incapacité des cabinets privés et des services agricoles à absorber l’ensemble des vétérinaires. C’est le cas de Abderrahim Benouadah, un jeune vétérinaire, diplômé en 2007, qui s’est retrouvé contraint d’opter pour la fonction de délégué médical auprès de l’Aahp, un laboratoire de production de médicaments pour animaux.
Ce jeune, originaire de Bordj Bou-Arréridj, affirme qu’il lui est difficile d’ouvrir un cabinet privé en raison des énormes contraintes de ce métier sur le terrain. «Je suis spécialisé dans l’aviculture et pour me faire connaître en qualité de vétérinaire privé, il me faut de grands sacrifices et de longues années de patience car même les éleveurs préfèrent solliciter les services des anciens vétérinaires », explique-t-il.
La principale source de difficultés dans ce métier réside dans le fait qu’il est axé sur deux volets : le sanitaire et le commercial. «Pour réussir en tant que jeune vétérinaire, il faut proposer ses services à des prix beaucoup plus bas que ceux appliqués par les anciens vétérinaires.
Mais même cette option s’avère temporaire, puisque les éleveurs font appel au jeune vétérinaire, mais ils finissent toujours par douter de ses compétences. Le dilemme réside dans la manière de faire une combinaison correcte entre les services proposés et le prix à appliquer», précise ce jeune vétérinaire de 29 ans. Selon lui, le jeune vétérinaire n’a d’autre choix que de s’appuyer sur ses connaissances personnelles pour pouvoir se faire un nom dans le domaine. Cette réalité «amère» du terrain a poussé des centaines de vétérinaires à abandonner le métier et opter pour d’autres créneaux afin de se mettre à l’abri du chômage. Notre interlocuteur, à l’image de milliers d’autres jeunes diplômés en médecine vétérinaire, a opté pour le métier de délégué médical. «Les écoles de formation de vétérinaires sont devenues les premiers pourvoyeurs de délégués médicaux qui sont, dans la plupart des cas, exploités par les laboratoires pharmaceutiques pour des salaires de misère.
Et c’est pour cette raison qu’il faut baisser le nombre des nouveaux diplômés dans cette filière», a expliqué, pour sa part, Karim Adjoud, professeur à l’Ecole vétérinaire d’Alfort (Paris). D’ailleurs, même les cabinets privés sous-estiment les délégués médicaux qui viennent leur proposer des produits pharmaceutiques, estimant que ces jeunes diplômés n’ont aucune connaissance de la réalité du terrain, regrette Abderrahim Benouadah qui affirme, par ailleurs, que des centaines de vétérinaires finissent par abandonner ce métier de délégué médical et opter pour d’autres métiers qui n’ont aucun lien avec leur formation universitaire.
Il faut dire que le grand nombre de diplômés et la quantité du cheptel élevé dans notre pays constituent la principale source du calvaire des jeunes vétérinaires. La solution consiste, selon le Pr Adjoud, en l’amplification du cheptel et la mise en place des lois obligeant les éleveurs à procéder à des consultations et des vaccinations périodiques de leur cheptel.
je me joint a Aurore pour ajouté l'article paru sur "Infosoir" qui parle des 7eme journées vétérinaires dans leurs dossier du jours (page 2 et 3). voila un des articles:
Constat n Les jeunes diplômés de l’Ecole nationale supérieure vétérinaire (Ensv) éprouvent d’énormes difficultés pour décrocher un emploi dans leur spécialité.
Cela est dû au grand nombre de diplômés, d’une part, et, d’autre part, à l’incapacité des cabinets privés et des services agricoles à absorber l’ensemble des vétérinaires. C’est le cas de Abderrahim Benouadah, un jeune vétérinaire, diplômé en 2007, qui s’est retrouvé contraint d’opter pour la fonction de délégué médical auprès de l’Aahp, un laboratoire de production de médicaments pour animaux.
Ce jeune, originaire de Bordj Bou-Arréridj, affirme qu’il lui est difficile d’ouvrir un cabinet privé en raison des énormes contraintes de ce métier sur le terrain. «Je suis spécialisé dans l’aviculture et pour me faire connaître en qualité de vétérinaire privé, il me faut de grands sacrifices et de longues années de patience car même les éleveurs préfèrent solliciter les services des anciens vétérinaires », explique-t-il.
La principale source de difficultés dans ce métier réside dans le fait qu’il est axé sur deux volets : le sanitaire et le commercial. «Pour réussir en tant que jeune vétérinaire, il faut proposer ses services à des prix beaucoup plus bas que ceux appliqués par les anciens vétérinaires.
Mais même cette option s’avère temporaire, puisque les éleveurs font appel au jeune vétérinaire, mais ils finissent toujours par douter de ses compétences. Le dilemme réside dans la manière de faire une combinaison correcte entre les services proposés et le prix à appliquer», précise ce jeune vétérinaire de 29 ans. Selon lui, le jeune vétérinaire n’a d’autre choix que de s’appuyer sur ses connaissances personnelles pour pouvoir se faire un nom dans le domaine. Cette réalité «amère» du terrain a poussé des centaines de vétérinaires à abandonner le métier et opter pour d’autres créneaux afin de se mettre à l’abri du chômage. Notre interlocuteur, à l’image de milliers d’autres jeunes diplômés en médecine vétérinaire, a opté pour le métier de délégué médical. «Les écoles de formation de vétérinaires sont devenues les premiers pourvoyeurs de délégués médicaux qui sont, dans la plupart des cas, exploités par les laboratoires pharmaceutiques pour des salaires de misère.
Et c’est pour cette raison qu’il faut baisser le nombre des nouveaux diplômés dans cette filière», a expliqué, pour sa part, Karim Adjoud, professeur à l’Ecole vétérinaire d’Alfort (Paris). D’ailleurs, même les cabinets privés sous-estiment les délégués médicaux qui viennent leur proposer des produits pharmaceutiques, estimant que ces jeunes diplômés n’ont aucune connaissance de la réalité du terrain, regrette Abderrahim Benouadah qui affirme, par ailleurs, que des centaines de vétérinaires finissent par abandonner ce métier de délégué médical et opter pour d’autres métiers qui n’ont aucun lien avec leur formation universitaire.
Il faut dire que le grand nombre de diplômés et la quantité du cheptel élevé dans notre pays constituent la principale source du calvaire des jeunes vétérinaires. La solution consiste, selon le Pr Adjoud, en l’amplification du cheptel et la mise en place des lois obligeant les éleveurs à procéder à des consultations et des vaccinations périodiques de leur cheptel.
petitange- Space Accro
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- Message n°5
Re: 7eme Journée vétérinaire
slt j'ai eu l'occasion d'y assister enfin j'ai raté le 1er jour d'ailleur je le regrette car jvoullais bien assister au communiqué du pr henzen malgré ça le 2em jour était pas mal non plus meme si c'était just la mie journée.l ensemble des communiquants a trés bien expliqué c'était clair pour les etudiants.hey oui il nous faut plein de journée comme ça
Athéna- Administrateur
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Date d'inscription : 13/12/2008
- Message n°6
Re: 7eme Journée vétérinaire
A l'ENV y a souvent ce genre de rassemblement en plus des journées vétérinaires notre directeur a organisé des journées scientifiques pour la grippe aviaire.
Bien entendu les etudiants sont invité a assisté et encouragé.
On vous tiendra au courant d'eventuelle journée scientifique qu'on organise.
Bien entendu les etudiants sont invité a assisté et encouragé.
On vous tiendra au courant d'eventuelle journée scientifique qu'on organise.
one-wish- Modérateur
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Localisation : derriere mon PC pardi !!
Date d'inscription : 16/12/2008
- Message n°7
Re: 7eme Journée vétérinaire
personnelement j'ai du ratter la premiere journee !! T_T j'ai meme pas pu assister a la ceremonie d'ouverture .. il parait que j'ai ratter
bref le 2 eme jour , comme d'habitude je suis arriver en retard mis un peu de temp pour me trouver une place , et essayer de me concentrer , j'avais peur de rien comprendre mais jai adorer parceque tres vite j'ai commencer a piger !!
voila hate de voir le prochain rassemblement !!
bref le 2 eme jour , comme d'habitude je suis arriver en retard mis un peu de temp pour me trouver une place , et essayer de me concentrer , j'avais peur de rien comprendre mais jai adorer parceque tres vite j'ai commencer a piger !!
voila hate de voir le prochain rassemblement !!
petitange- Space Accro
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Date d'inscription : 21/01/2009
- Message n°8
Re: 7eme Journée vétérinaire
merci m.angel pareil pour moi dés qu'il y aura des news a e sujet jvous tiendrai tous au courant
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