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Copenhague : Brown regrette que quelques pays aient 'pris en otage' le sommet

Le premier ministre britannique Gordon Brown a accusé une 'poignée de pays' d'avoir 'pris en otage' les négociations lors de la conférence de Copenhague sur le climat, selon des extraits d'un message rendus publics, lundi 21 décembre, par Downing Street.



M. Brown a réclamé que soient tirées les 'leçons' de la manière dont les discussions ont été menées à Copenhague, selon les extraits qui devaient être diffusés sur Internet dans la journée de lundi. 'Nous ne devrions plus jamais être confrontés à l'impasse qui a menacé de faire échouer ces discussions', a déclaré le chef du gouvernement britannique.

'Nous ne devrions plus jamais laisser un accord mondial devant mener à un avenir plus écologique être pris en otage par une poignée seulement de pays', a-t-il ajouté, sans citer les pays visés. Le ministre britannique de l'environnement, Ed Miliband, avait reconnu dimanche que les résultats de la conférence de Copenhague étaient 'décevants' et avait reproché à la Chine d'avoir combattu un accord prévoyant une contrainte légale sur la réduction des émissions de CO2.


Qu'est ce que vous en dites ??? Est-ce que vous pensez que la terre est entre de BON mains ou ....???

Ban Ki-moon minimise l'échec du sommet de Copenhague
Aujourd'hui, 08h08 LePoint.fr

Trois jours après la fin du sommet de Copenhague, le chef de l'ONU, Ban Ki-moon, a reconnu que l'accord conclu sur le climat était insuffisant. "Je suis conscient du fait que le résultat de la conférence de Copenhague, y compris l'accord de Copenhague, ne va pas aussi loin que beaucoup l'auraient espéré", a souligné le secrétaire général à la presse, à New York, à son retour de la capitale danoise. "Néanmoins, c'est un début - un début essentiel. (...) Nous avons fait un pas important dans la bonne direction", a-t-il relativisé.

Les laborieuses tractations de Copenhague n'ont abouti qu'à un accord politique de trois pages, non contraignant et duquel les données chiffrées essentielles sont absentes. Ban Ki-moon a ainsi exhorté les dirigeants du monde à rassembler leurs forces dès l'an prochain. Il faut "s'engager directement dans la recherche d'un traité mondial légalement contraignant sur le réchauffement climatique en 2010", a-t-il demandé. L'un des proches collaborateurs de Ban Ki-moon, Robert Orr, avait déjà affirmé que l'accord politique conclu à Copenhague fournissait une "base d'entente à partir de laquelle on peut commencer les négociations sur un traité".

Après Copenhague, un traité contraignant est maintenant espéré fin 2010 à Mexico, tandis que Bonn (Allemagne) doit accueillir une conférence de suivi dans six mois. Le but est que le futur traité prenne effet en 2013, après l'expiration du protocole de Kyoto. Selon Ban Ki-moon, à court terme, le défi pour l'ONU consisterait alors à mobiliser la volonté politique nécessaire et à la traduire en actes. Pour aller dans ce sens, il a annoncé la création, au début de l'année prochaine, d'un comité de haut niveau sur le développement et le réchauffement climatique pour traiter de ces questions.

Le système onusien sous le feu des critiques

Pourtant, le système de fonctionnement de l'ONU est vivement critiqué. Le mode de négociation s'est révélé inefficace et la règle de l'unanimité peu adaptée. "Je suis un peu déçu par Copenhague", a déclaré le ministre du Développement durable Jean-Louis Borloo, incriminant "ce système de l'ONU où le climat est tellement peu important, apparemment, qu'on décide tout à l'unanimité". "Un système de consensus à 192 avec des gens qui ont des intérêts aussi divergents et contradictoires, en tout état de cause, il va falloir réfléchir à cela et avoir des règles de fonctionnement différentes", a-t-il expliqué lundi sur RMC, soulignant : "L'ONU a été incapable de présenter le moindre document." La secrétaire d'État à l'écologie Chantal Jouanno a aussi abondé en ce sens. "Il saute aux yeux que le système de l'ONU, tel qu'il est, est obsolète. Les négociations étaient totalement enlisées", a-t-elle noté dans les colonnes du Journal du Dimanche .

L'accord de Copenhague a été confectionné par les dirigeants des États-Unis, de la Chine, de l'Inde, du Brésil, de l'Afrique du Sud et de grands pays européens, quand il est apparu que le sommet Copenhague, réunissant 194 pays, était menacé d'échec, faute de consensus. Il promet 100 milliards de dollars d'aide aux pays pauvres, qui risquent d'être les plus affectés par les effets du réchauffement, et contient un engagement des États à agir en vue de limiter celui-ci à deux degrés Celsius.

Fidel Castro: l'accord sur le climat de Copenhague est "antidémocratique"

Fidel Castro a estimé dimanche que l'accord sur le climat trouvé lors de la conférence de l'ONU à Copenhague était "antidémocratique" et a qualifié de "trompeur" le discours prononcé dans la capitale danoise par le président américain Barack Obama.

Dans l'une de ses habituelles "réflexions" qui font l'objet de publications, l'ancien président cubain fustige l'accord qui presse les grands pollueurs de la planète de procéder à de plus fortes réductions des émissions de gaz à effet de serre, mais n'exige pas.

Il affirme que les seuls pays industrialisés ont pu s'exprimer lors du sommet, tandis que les Etats pauvres et émergents ont uniquement eu le droit d'écouter.

Le Lider Maximo livre sa position alors que le président bolivien Evo Morales a déclaré dimanche qu'il organiserait une autre conférence sur le climat. Le chef d'Etat bolivien a exhorté la communauté internationale à se mobiliser contre l'échec du sommet de Copenhague, qui a pris fin samedi après deux semaines de tensions et de batailles politiques.

AP associated press

Fidel castro ??????? c'est qui pour dire n'importe quoi ?? wellah je trouve ce monde besard!!!!!!! alors punir les criminels c'est anti democratique aussi
on laisssssssse tt le monde aire ce qu'il veut ???c'est ça la democratie????!!!!!!! au Castro dit nous c koi la democratie